
Les trains Rémi : 88 000 voyages quotidiens
La Région Centre-Val de Loire a misé sur le transport ferroviaire pour offrir à ses habitants une offre de mobilité, tant dans les liaisons interurbaines que les territoires ruraux. Au cœur de cette offre, les trains Rémi jouent un rôle clé.
Proposer une véritable offre ferroviaire régionale
En précurseur, le Centre-Val de Loire s’est fortement engagé en faveur de l’amélioration du service public de transport régional ferroviaire de voyageurs.
En effet, dès 1998, le Centre-Val de Loire est une région test pour l’organisation du TER. Forte de cette expérience, la Région est devenue l’autorité organisatrice du TER dès 2002, et n’a eu cesse de participer à des investissements majeurs destinés à développer et améliorer l’offre.
Concrètement, SNCF Voyageurs reste l’exploitant du réseau régional. Mais via une convention, la Région fixe les objectifs en matière d’efficacité, de qualité de service et adéquation de l’offre.
Le transport ferroviaire, essentiel dans la Région
Favoriser le transport ferroviaire relève de l’évidence dans la Région ! En effet le train joue un rôle essentiel dans le contexte particulier du Centre-Val de Loire, qui présente bien des facettes :
- une région multipolaire, qui nécessite des liaisons inter-urbaines,
- une région située aux portes de l’Ile-de-France - de nombreux « navetteurs » réalisent le trajet entre les deux régions quotidiennement,
- une région comportant d’importants territoires ruraux à desservir.
Mais le Centre-Val de Loire s’est engagé pour que la mobilité profite à tous les usagers. D’abord, à travers une convention signée avec la SNCF pour maintenir une offre ferroviaire régulière. Ensuite, en déployant l’offre Rémi pour garantir l’intermodalité et la mobilité de bout en bout, à l’échelle de toute la Région.
Des centaines de trains, des milliers de voyageurs
En 2019, le train dans la région représentait 88 000 voyages, effectués à bord des 425 trains quotidiens, dont :
- 17 000 sur les trains Rémi Express (Ex-Intercités repris par la Région),
- 60 000 sur les lignes ferroviaires Rémi (ex-TER), dont près de 25 000 sur la seule ligne Paris-Chartres.